120 millions d’euros pour un projet assimilable à une autoroute qui traverse la ville de Besançon, est-ce vraiment raisonnable et souhaitable à l’heure de l’urgence climatique et sociale ? Pour EELV Grand Besançon, assurément, la réponse est non. D’autres solutions sont possibles.
Le 28 janvier 2021, le conseil municipal de Besançon a adopté un schéma de promotion des achats socialement et écologiquement responsables (SPASER) dont l’objectif est de rendre la commande publique plus éthique, durable, locale et solidaire. Il intègre également, et c’est une première en France, une clause bien-être animal. Il est porté par Anthony Poulin, adjoint EELV en charge des finances, de la commande publique et du développement durable.
EELV rappelle d’abord que le projet disposait initialement d’un nombre d’atouts qui avaient conduit les écologistes à ne pas s’y opposer dès les années 2000.
Ci-dessous la réponse distribuée par les élus municipaux de l’intergroupe suite à l’appel à engagement que les élus municipaux avaient reçu de la part de l’Association vélo Besançon.